Après quelques semaines d'hibernation et la rédaction douloureuse d'un fameux dossier à quatre lettres et 20 pages, il est grand temps de vous donner des nouvelles alors que la rédaction a recrutée une économiste aguerrie. Tout d'abord, pour réjouir ceux qui trouvent qu'il ne fait pas assez chaud dans l'hexagone, voici une preuve prise sur la campus de McGill qu'après une semaine où nous avons enfin franchi la barre des 10°C, un nouveau coup de froid nous a fourni une belle chute de neige d'avril:
McGill en perdrait presque son chapeau
Comme il ne faut pas de laisser abattre, on compense par la cuisine et notamment le cliché, so parisien , de la bonne tatin chère à nos brasseries. Petit crash course :
- Il vous faut une assistante pâte sablée addict
- Des pommes, du beurre,du sucre...le désordre est en option
- Première caramélisation
- Dressage dans un moule généreusement beurré et sucré, air grave obligatoire
- Remuer vivement la main pour aider les pommes à confire
- C'est prêt à savourer ou engloutir entre deux publis (Remarquez le jaune sur ce fabuleux article de Pachepsky et al. 2001 , un Nature tout de même)
- Franchement, c'était une tuerie!
Comme on ne fait pas que manger, on a quand même quelques images de la ville. Dont la biosphère du parc Jean Drapeau, celui la même où se déroulent les piknik électronik chers à Etienne.
ou encore le jardin botanique et ses papillons en libertés:
Et pour finir sur une note de finesse, les joies de la signalisation en québécois:
ou encore le jardin botanique et ses papillons en libertés:
Et pour finir sur une note de finesse, les joies de la signalisation en québécois: